1. |
Trafalgar
03:37
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TRAFALGAR
Dis-moi dis-moi, est-ce que tu vois cette image qui vacille mais qui ne meurt pas? C’est toi et moi, un souvenir accroché au grand ciel d’autrefois
Il a la couleur pâle des regrets
Te souviens-tu?
Te souviens-tu?
Je crois qu’il faisait nuit à l'arrière d’un taxi, nos corps incandescents On se sentait en vie, ivres de nos envies, souverains du moment
On tutoyait les dieux un éclat d’infini dans les yeux
On ne le savait pas mais c'était la dernière fois
Et si et si on avait choisi d'écrire une autre histoire en bord de mer? Et si et si on avait choisi le coup de Trafalgar à la lumière d’un éclair? Je vois le fantôme des rendez-vous manqués
Il a la couleur pâle, la couleur pâle des regrets
Te souviens-tu?
Te souviens-tu?
Je crois qu’il faisait nuit à l'arrière d’un taxi, nos corps incandescents On se sentait en vie, ivres de nos envies, souverains du moment
On tutoyait les dieux un éclat d’infini dans les yeux
On ne le savait pas mais c'était la dernière fois
On tutoyait les dieux un éclat d’infini dans nos yeux On le savait pas mais c'était la dernière fois Dernière fois
Dernière fois
Dernière fois
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2. |
Così è la vita
04:16
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COSI E LA VITA
Si par hasard tu passes par ici, viens frapper à ma porte de vieux bois
Je t’ouvrirai, te sourirai, du fond d’une autre vie où l’on s’aimait
Tu me diras les hommes et les mirages, les peines de coeur et les jours sans courage Tes deux enfants qui ont bien grandi et que tu appelles tendrement « mes paradis »
Così è la vità, così è la vità, inarrestabile, impaziente, che non si ferma e non aspetta niente Così è la vita, così è la vita, bastano piccole acrobazie per apprezzarne le fantasie
On ne fait que passer dans un décor de papier
Je te dirai les femmes, les rêves t les orages
La beauté des nuits blanches sur ton visage
La solitude que j’ai choisie comme la rivière calme au coeur d’un incendie
Così è la vità, così è la vità, inarrestabile, impaziente, che non si ferma e non aspetta niente Così è la vita, così è la vita, bastano piccole acrobazie per apprezzarne le fantasie
On ne fait que passer sur les cases d’un échiquier
Nos lèvres s'ouvriront sur un vertige
Tu me laisseras pour d’autres paysages Tu hésiteras mais tu ne te retourneras pas Près du panneau qui dit: arrivederci
Così è la vità, così è la vità, inarrestabile, impaziente, che non si ferma e non aspetta niente Così è la vita, così è la vita, bastano piccole acrobazie per apprezzarne le fantasie
Così è la vità, così è la vità, inarrestabile, impaziente, fatta di verita illegibili
Così è la vita, così è la vita, fatta di verità illeggibili, di verità illeggibili
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3. |
Nuit après nuit
04:35
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NUIT APRES NUIT
On a usé le beau, on a usé le meilleur
Reste la lumière douce du soir qui pousse lentement nos ombres
Vers des souvenirs d’or, d’argent et de poussière
On a usé les mots, on a usé leur douceur
Reste la chaleur ouatée de l’ivresse qui enveloppe ceux qui ont aimé et ceux qui l'ont été Dans l’âme et dans la chair
Nuit après nuit après nuit après nuit, je fais ce rêve
Nuit après nuit après nuit après nuit, je fais ce rêve
Une étoile solitaire, l’écho d’une prière, on regarde le jour qui se lève Tu me prends la main, je respire à peine
On se dit « enfin », on se dit « je t’aime »
Sous la statue de Rodin
Disparu l’Eldorado, évanouie la candeur Dites-moi le secret qui guérit du malheur
Nuit après nuit après nuit après nuit, je fais ce rêve
Nuit après nuit après nuit après nuit, je fais ce rêve
Une étoile solitaire, l’écho d’une prière, on regarde le jour qui se lève Tu me prends la main, je respire à peine
On se dit « enfin », on se dit « je t’aime »
Sous la statue de Rodin
On a usé la peau, on a usé la splendeur Reste tout ce qu’on ne vivra jamais Reste tout ce qu’on ne vivra jamais Reste tout ce qu’on ne vivra jamais
Nuit après nuit après nuit après nuit, je fais ce rêve
Nuit après nuit après nuit après nuit, je fais ce rêve
Nuit après nuit après nuit après nuit, Nuit après nuit après nuit après nuit.
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4. |
Alcyone
00:39
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5. |
Je dis merci
03:36
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JE DIS MERCI
Aux têtes vides, aux corps brûlants Aux intrépides coeurs de néant
Aux espoirs fous, aux étincelles
Aux bienheureux qui sculptent le ciel
Je dis merci Je dis merci
Aux saboteurs, aux clairvoyants
Aux amoureux qui prennent leurs temps Aux mots qui apaisent nos mélancolies A ton étreinte qui jamais ne ment
Je dis merci Je dis merci
Aux petites mains pleines de pluie
A l’air ébloui de mes enfants
Aux voix qui chantent en harmonie A la chaleur qui nous envahit
Quand pour un instant on s’évanouit Dans le bien plus grand, dans l’infini
Je dis merci Je dis merci Je dis merci Je dis merci
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6. |
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PAS DE DESTIN, PAS DE HASARD
Qu'est-ce qui se passe dans nos têtes quand le temps soudain s’arrête? Qu'est-ce qui se passe dans nos coeurs quand on accueille la lumière? Qu'est-ce qui se cache dans ces espaces?
Il y a un ciel heureux c’est un beau soir de fête
Avec un ami tendre qui parle peu qui rit de tout
Des dieux, des maîtres, des garde-fous
On chante pour quelques étoiles pour les absents quelques notes de cristal
Qu'est-ce qui se passe dans nos têtes quand le temps soudain s’arrête? Qu'est-ce qui se passe dans nos coeurs quand on accueille la lumière? Qu'est-ce qui se cache dans ces espaces?
Il y a des chants radieux, de grandes silhouettes
Qui dansent tout autour d’un enfant beau et courageux
Qui nous ressemblent et qui nous dit
« Rêvez de tout, de l’impossible, une vie grande et libre en coeur de cible »
Qu'est-ce qui se passe dans nos têtes quand le temps soudain s’arrête? Qu'est-ce qui se passe dans nos coeurs quand on accueille la lumière? Qu'est-ce qui se cache dans ces espaces?
Il y a des chemins bleus, des fantômes qui répètent
Que ce n’est pas trop tard, qu’il y a un futur pour les mains
Qui tremblent et se trouvent dans le noir
Où nos voix blanches psalmodient la seule vérité qui nous unit:
Il n’y a pas de destin, Il n’y a pas de hasard
Il n’y a pas de destin, Il n’y a pas de hasard (qu’est-ce qui se passe dans nos têtes)
Il n’y a pas de destin, Il n’y a pas de hasard (qu’est-ce qui se passe dan nos coeurs)
Il n’y a pas de destin, Il n’y a pas de hasard
Qu'est-ce qui se passe dans nos têtes quand le temps soudain s’arrête? (il n’y pas de destin)
Qu'est-ce qui se passe dans nos coeurs quand on accueille la lumière?
Qu'est-ce qui se passe dans nos têtes quand le temps soudain s’arrête? (il n’y a pas de hasard) Qu'est-ce qui se passe dans nos coeurs quand on accueille la lumière?
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7. |
Des rêves
03:27
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DES REVES
Je fais des rêves transparents
Je caresse ton corps talisman
Qui ondule, sauvage
Ce torrent sacrilège, cette promesse d'extase
Qui règne en sueur sur mon souffle en suspens
Je fais des rêves envoûtants où tu glisses entre mes doigts Puis on s'évapore sous un soleil brûlant
Et on monte en douceur vers d’autres firmaments
Je fais des rêves entêtants où tu tourbillonnes en moi Où tu portes ma folie comme un diamant
Voici les lueurs du matin triomphant
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8. |
L'ami oublié
03:31
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L’AMI OUBLIÉ
Je suis l’ami des jours qui passent Je suis l’ami des jours qui passent Je suis l’ami qu’on oublie
Je suis l'ami des jours qui passent, le contraire du héros
Je suis l'ami que l'on oublie sans peine à son jour le plus beau
Je marche dans tes allées sombres et je te vois tranquille et beau Mes espérances d'un nouveau monde je t'en fais ce soir cadeau Si à ta porte brille un flambeau
Je suis l'ami des jours qui passent, le contraire de héros
Je suis l'ami que l'on oublie sans peine à son jour le plus beau
Dans la vacarme des paroles, sans masque et sans dire un mot Tu reconnaîtras mon visage, ma pâleur et mon manteau
Un regard clair sera ton cadeau
Si à ta porte brille un flambeau
Je suis l'ami des jours qui passent
Je suis l’ami des jours qui passent
Je suis l’ami que l’on oublie sans peine
Je suis l’ami des jours qui passent
Je suis l’ami des jours qui passent
Je suis l’ami que l’on oublie sans peine à son jour le plus beau
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9. |
La mort d'un roi
04:02
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LA MORT D’UN ROI
Deux amants qui se réveillent là, loin de la liesse ils se prélassent Dans la rue les feux, la joie
C’est la mort d’un roi
Ils sourient aux promesses du matin
Tout est possible, tout fini et commence là
Dans l'amour et dans les combats
C’est la mort d’un roi
Ce sont deux gouttes d’océan, deux coeurs impatients En apesanteur dans l'instant qui s’embrase
Au vent de l’histoire les rideaux gonflés Comme deux voiles à leur radeau de volupté Leurs corps nus sous une pluie de lilas
C’est la mort d’un roi
Demain ils se dépouilleront de tout
Ils feront table rase d’un monde fou
Ils rejoindront ce tourbillon où l’on rêve, rêve, jusqu’à déraison
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10. |
La joie
03:22
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LA JOIE
Demain matin je m’inclinerai
Aux premières lueurs qui traversent la canopée
La gioia, la gioia
Demain matin je déposerai
Les faux espoirs et ce masque fissuré
La gioia, la gioia
Demain matin je m’allongerai
Dans la vie simple et dans les grandes vérités
Demain matin je déchiffrerai
Avec toi ces visions qui n’ont de cesse de nous visiter
La gioia, la gioia
Demain matin je t’enlacerai
De toutes mes forces, de tout l’amour que le temps qui reste me permet La gioia, la gioia
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